C'est avec du vieux qu'on fait du neuf. Microsoft ne déroge pas à la règle et reprend une ancienne carte issue de Gears of War 2 pour l’insérer dans Gears of War 3. Bien entendu ils ont fait quelques modifications sur la carte pour quelle soit potable et en accord avec le temps. Intitulé Gridlock cette carte est à destination du multijoueur.Comme ont voulaient en savoir plus sur les autres cartes, pour nous faire plaisir Microsoft à fini par lâcher un big descriptif des maps multijoueurs.
Checkout : Les combats de Checkout se déroulent dans les vestiges d'un hypermarché abandonné. Peu avant les évacuations, les propriétaires avaient organisé des soldes pour écouler leurs stocks, mais avaient finalement dû tout laisser sur place. Au milieu des rayonnages de ce magasin, vous livrerez des combats rapprochés qui ne laissent pas de place à l'erreur. Le choix des armes est crucial, la bonne exploitation des abris est indispensable pour survivre et chaque action mène à une conséquence. Face à votre ennemi, rappelez-vous ce qui est marqué en vitrine : “Liquidation totale”.Drydock : Les textes vantant la beauté de la culture serane ne manquent pas, mais on oublie trop souvent les infrastructures qui la soutiennent. Il en va ainsi de ce chantier naval, qui étale au grand jour ses marchandises non livrées et autres équipements industriels. Le tout est surplombé par la carcasse rouillée d'un cargo, condamné à une éternité de cale sèche.Gridlock : Cette rue recouverte de cendres était autrefois une destination touristique très prisée, célèbre pour ses auberges de caractère et ses cafés en bord de mer. À présent, même l'eau a disparu pour faire place aux reliefs calcinés d'un cratère, symbole de deuil pour l'humanité serane.Hotel : Pour leurs vacances, les Serans avaient le goût du luxe, comme en témoigne cet hôtel opulent. Mais face à la montée en puissance mondiale de l'infection lambent, les belles plages de jadis menacent d'être submergées et les bâtiments humains révèlent toute leur fragilité face aux vents violents.Mercy : Cette zone était autrefois une grand-place accueillante et bondée, mais les guerres pendulaires et les pilonnages des URI l'ont défigurée à jamais. Quand les premiers puits d'émergence locustes sont apparus peu après, l'évacuation a été quasi immédiate. Cette vaste place centrale, très dégagée, est bordée de tous côtés par des corridors couverts et des bâtiments. Les armes les plus puissantes se situent sur une estrade à la vue imprenable, mais celui qui veut en prendre le contrôle devra s'attendre à des combats aussi acharnés qu'incessants.Old Town : Plusieurs zones isolées de Sera ont réussi à repousser quelque temps les séquelles de l'Émergence ; des villes insulaires comme celle-ci ont ainsi perduré grâce à leurs petites fermes et à la manne de l'océan. Mais les meilleures choses ont une fin : cette vie en autarcie n'était pas possible indéfiniment. Cette carte est idéale pour le jeu par équipes, avec ses nombreuses zones qui se prêtent à des scénarios offensifs comme défensifs. Les stratégies les plus mûrement élaborées sont souvent gagnantes et l'élément de surprise permet souvent de faire tomber l'ennemi dans un piège.Overpass : À mesure que l'infection lambent contamine Sera, la planète se désagrège peu à peu. Ici, face à l'érosion progressive des sous-sols, c'est tout le quartier qui s'effondre dans une vaste caverne souterraine. Tenez le point haut ou vous risquez de vous retrouver pris dans l'effondrement. Dans cette carte ultra dynamique, les combats se concentrent souvent sur la passerelle surélevée, un endroit idéal pour se retrancher grâce à ses protections et ses armes fixes ; mais cette stratégie peut se retourner contre son auteur, car l'ennemi ne se privera pas de reprendre l'ascendant à coups de mortier et de laser orbital.Sandbar : Ce poste d'observation bénéficiait autrefois d'une vue imprenable sur l'horizon lointain. Jamais contesté, il était réputé inexpugnable de par les mouvements perpétuels des bancs de sable dans les basses-eaux, qui rendaient le littoral imprévisible. Le fait est que ce poste n'est jamais tombé ; il a simplement été abandonné quand l'humanité a fui une menace que personne n'avait anticipée.Thrashball : Ce stade est le vestige d'une époque où les héros ne se battaient pas pour survivre, mais pour l'honneur et la gloire. Aujourd'hui, les clameurs de la foule se sont tues, remplacées par les gémissements mélancoliques du vent dans les gradins vides ; les matchs ne se déroulent plus uniquement dans l'aire de jeu et l'équipe qui contrôle les buvettes gagne un avantage indéniable. Le panneau des scores compte toujours les points, mais ses câbles porteurs effilochés en font aussi un piège de premier choix pour quiconque a l'inconscience de passer dessous.Trenches : Les Locustes ont entrepris de forer des mines et tunnels dans la roche des terres dévastées de Sera, pour y retrouver une existence comparable aux Entrailles qui les ont vus naître. Mais cet environnement hostile est un ennemi plus impitoyable encore que tous ceux qu'ils ont affrontés. Étroites et anxiogènes, les tranchées locustes donnent sur la quasi-totalité du champ de bataille. La colline centrale conduit à un bunker fortifié offrant une position de tir stratégique. Une fois pris, il est difficile d'en déloger l'occupant, à moins de profiter de l'aveuglement général causé par une tempête de sable pour s'infiltrer.
Far Cry 3 exhibe toute sa beauté en images grâce au CryEngine, histoire de nous en mettre plein la vue. Ca marche pas sur moi.
Perso c'est un jeu que je déteste, il m'a bien fait chier, mais pour ceux qui l'attendent avec impatience il sortira l'année prochaine sur PC, PS3 et Xbox 360.
Triste semaine depuis que j'ai appris que Steve Jobs alias le Boss, comme j'avais l'habitude de l’appeler, a démissionné d'Apple. D'après certaines infos ce départ précipité serait dû à des raisons de santé grave. Cependant le grand patron a tout organisé en "léguant" à Tim Cook la direction d'Apple, qui je l’espère sera aussi charismatique que Stevi. Je peux déjà spéculer sur un effondrement léger d'Apple en bourse et dans notre coeur. Bref on souhaite à Steve Jobs un bon rétablissement.