
En 1991, j’étais encore un gosse qui jouait frénétiquement sur son Atari 520 ST-STE, et qui n’avait pas conscience, qu’ailleurs, une révolution était en train de naître. Sid Meier, de l’autre côté de l’Atlantique, faisait découvrir au monde entier son tout premier Civilisation. Tandis que je m’énervais sur la bêtise d’un jeu comme Kick-Off ou sur la difficulté d’un P47, d’autres faisaient connaissance avec Civilization. Tournant...