
Un peu avant 2008, un peu après l'immense (au sens propre) Carlos, Pascal Sevran et le capitalisme sans tête, je suis au regret de vous annoncer la mort de ce modeste blog. Y a pas à dire, il sera bien entouré.Non pas que l'envie de jouer me manque, que du contraire! Ce serait plutôt le temps qui fait défaut, surtout si je veux un jour accomplir l'un ou l'autre de mes vieux rêves de gosse: écrire un bouquin, apprendre à jouer de la batterie (vieux...