Avec Odin Sphere et GrimGrimoire, la petite équipe de Vanillaware a envoyé un signal fort à toute la communauté des fans de jeux japonais. Non, la 2D n'a pas dit son dernier mot, et pour peu que l'on s'en donne les moyens, il est encore possible de faire des miracles à l'heure de l'Unreal Engine 3. Preuve en est Oboro Muramasa, dit Muramasa : The Demon Blade, l'Action-RPG le plus sexy de la Wii. Lire le Test import
Dans la foulée de Dungeon Party, son jeu PC free to Play lancé au printemps 2009, le développeur français Cyanide s'est attelé à la réalisation de Dungeon Raiders, une sorte d'adaptation sur DS dont on ne retiendra pas grand-chose, si ce n'est son classicisme forcené. Loin de nous l'idée de jouer les trolls dans cet univers heroic fantasy décalé, mais ce jeu d'aventure n'a pas beaucoup plus à offrir que des mécanismes éculés. À tel point que le titre n'hésite pas à en faire un sujet de plaisanterie durant les dialogues - plutôt croustillants - entre les personnages, ou sur les panneaux d'information que l'on trouve le long du parcours. On ne compte plus les interrupteurs à actionner, les monstres génériques à occire, les boutons à presser, oui mais en posant un tonneau dessus parce que sinon ils ne restent pas enfoncés... Même sentiment concernant les pièges : les lance-flammes, bains de lave et autres pics jaillissant du sol, on en a vite par-dessus la tête. La petite note d'originalité est à chercher du côté des commandes puisque les développeurs ont fait le choix du tout tactile, aussi bien pour déplacer le personnage que pour lancer des sorts, en dessinant des formes sur l'écran du bas. Là encore, le ressenti est correct sans plus car les sauts posent de vrais problèmes de précision et bouffent des points de vie à chaque erreur. En outre, le jeu n'avait vraiment pas besoin de ça pour être tendu, car le challenge est plutôt relevé. Aux commandes de Glandalf, un magicien cinéphile parti à la rescousse de ses amis que l'on pourra également contrôler par la suite, il faut traverser une série de donjons de plus en plus vastes, sans trop s'attarder vu que le chronomètre tourne. Mais entre les ennemis et les pièges peu inspirés, il y a de quoi piétiner. Lire le Test flash
Le héros de ceux qui se lèvent le dimanche matin (les gosses, pas les gens qui vont à la messe) est de retour sur PSP dans un Ben 10 : Alien Force résolument tourné vers l'action. Le titre est vraiment sans surprises et propose une grosse portion de beat'em all couplée à quelques passages de plate-fome light, pas toujours bien précise mais certainement destinée à changer un peu le rythme. Un petit effort qui s'avère malheureusement loin d'être suffisant tant on se retrouve vite à répéter encore et encore les mêmes actions. Attention, le jeu ne mérite pas le statut de daube car il reste suffisamment bien réalisé et fidèle à la série pour que le fan en bas âge accroche. Mais que dire devant un gameplay qui consiste à éclater la tronche de vingtaines d'ennemis à la suite, tous identiques ou presque, dans des environnements très confinés, à tel point que des murs invisibles vous empêchent souvent de passer à la "case" suivante tant que vous n'aurez pas nettoyé la pièce. Ben 10 oblige, il est heureusement possible de se transformer en 10 aliens différents tous dotés de pouvoirs spéciaux, et ainsi de varier les attaques pour un tout petit semblant de tactique dans les combats. Dans la pratique, les choses sont cependant moins reluisantes, et le titre manque vraiment de punch pour convaincre. Les combos ne demandent aucun timing particulier, les transformations ne changent pas suffisamment la façon de jouer, et les ennemis ne brillent pas particulièrement par leur intelligence artificielle. Les symptomes typiques du jeu à licence taillé pour le très grand public, même si au fond, il ne fait nul doute que Ben 10 pourra divertir les jeunes aficionados du personnage pendant quelques heures. Ils seront cependant bien les seuls à lui trouver une once d'intérêt. Lire le Test flash
Rapidement annoncé lors du dernier E3, EA Sports MMA se décide enfin à sortir de sa tanière pour venir aguicher les amateurs de contact humain. Si le monde entier a pu découvrir lundi un premier trailer suintant la testostérone, nous étions la semaine dernière en compagnie de deux de ses créateurs face à une démo technique du jeu, prêt à en prendre plein la figure. Malheureusement, même avec Brett et Fedor en renfort, cette première rencontre nous a quelque peu laissé sur notre faim. Lire la suite
Les anglais de MCV dévoilent ce qui ressemble fort aux plans de lancement de Microsoft pour son fameux "Project Natal", la caméra de la Xbox 360 dévoilée à l'E3 dernier.Selon une source du site, le lancement du produit serait ainsi prévu pour novembre 2010, avec 5 millions d'unités mises sur le marché dans un premier temps, un prix qui devrait se situer en dessous des 50£ (environ 55), tandis que 14 jeux seraient prévus pour le line up initial. Rappelons que la "baguette magique" de la PS3 pourrait aussi arriver à l'automne 2010, ce qui promettrait une belle bataille en frontal sur le secteur du jeu en mouvement que la Wii a largement démocratisé depuis fin 2006.
Selon ses propres estimations, environ 4,7 millions d'exemplaires du jeu, toutes plates-formes confondues, ont en effet trouvé preneur aux Etats-Unis et en Angleterre lors des premières 24 heures après son lancement, le 10 novembre dernier, pour un chiffre d'affaires estimé à 310 millions de dollars (environ 208 millions d'euros). Il s'agirait, toujours selon l'éditeur, du plus gros lancement jamais réalisé pour un produit culturel ; Grand Theft Auto IV s'était, lui, écoulé à 3,6 millions d'exemplaires dans le monde en 24 heures.
Bonne nouvelle pour tous les joueurs de Dragon Quest qui se respectent : la sortie de Dragon Quest VI, troisième et dernier remake de la trilogie Tenkû sur DS, est annoncée pour le 28 janvier au pays du Soleil-Levant.
Pour rappel, c'est la première fois que ce volet fera l'objet d'une refonte, à l'inverse des deux précédents, ce qui place instantanément ce RPG culte de la Super Famicom parmi les titres les plus attendus de 2010 au Japon. Voir les images
Un Zelda ne saurait être digne de son rang sans une flûte, un ocarina ou tout autre type d'instrument. Dans The Legend of Zelda : Spirit Tracks, le prochain épisode en préparation sur Nintendo DS, Link devra apprendre à maîtriser le pouvoir de la "Flûte de la Terre" pour révéler les secrets du nouvel Hyrule.
Petite particularité cette fois : le joueur devra souffler dans le micro de la Nintendo DS, et combiner stylet et écran tactile, pour trouver la bonne tonalité de la mélodie. Comme on peut s'y attendre, c'est en apprenant les différentes partitions auprès des Locomo, les gardiens spirituels du monde, que Link pourra faire apparaître les voies ferrées le conduisant aux différents donjons. Autant dire qu'on aura l'air fin dans le bus ou le métro. Pour rappel, The Legend of Zelda : Spirit Tracks sera disponible chez nous à compter du 11 décembre. Voir les visuels
Un compte à rebours chasse l'autre parmi les sites de Namco Bandai. Une fois révélée l'existence du mystérieux Projet K, devenu officiellement Keroro RPG, l'éditeur japonais a aussitôt mis en ligne ce nouveau site, qui dévoilera un nouveau jeu de rôles dans une poignée de jours.
Comme son nom l'indique, Keroro RPG mettra en scène le célèbre Sergent Grenouille dans une nouvelle aventure au royaume des pirates. Le genre d'adaptation de licence qui passerait directement au format brève si elle n'était signée du Tales Studio, qui a promis d'adapter le système de combat L-MBS de la série pour donner naissance à des affrontements hyper dynamiques. La première vidéo semble d'ailleurs l'attester. Sortie Japon prévue courant 2010, sur Nintendo DS. Voir les images
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Après les épisodes Knights Of The Old Republic, Jade Empire et Mass Effect, BioWare revient à ses premières amours avec un jeu de rôle dans le plus pur style Baldur's Gate.
En deux mots, BioWare a fait de son dernier jeu de rôle, le titre le plus attendu par de très nombreux joueurs. Deux mots qui ne tiennent finalement à pas grand-chose, mais qui éveillent d'incroyables souvenirs à ces amateurs bercés par le doux phrasé [...]