DC-Swat, célèbre hacker-developpeur russe vient de mettre à jour son Dashboard - OS pour Dreamcast nommé Dreamshell.
Dreamshell passe en version 4.0 RC1 avec moult ajouts et modifications : un nouveau bootloader, une navigation plus rapide et de nouvelles applications dont notamment un ISOLoader pour les SD-Card Reader.
Ci-dessous la première vidéo du pack en comprenant 6 mis en ligne par l'auteur :
Vous pouvez retrouverez les vidéos officielles sur les liens ci-dessous :
Nintendo a en effet annoncer que son célèbre jeu de boxe devrais arriver dans la première moitié 2012! Donc en gros on devrais l'avoir chez nous en juillet! Punch Out est une vielle licence Nintendo datant de l'époque de la NES et SuperNes! Nintendo a décidé de la faire revivre sur Wii. C'est vrais que le jeu se manieras plutôt bien grâce au couple Wiimote/Nunchuk! Faut juste que les mouvements produit soit le mieux retransmis possible dans le jeu....
Le crédit d'impôt production en faveur de l'industrie du jeu vidéo a enfin été adopté par les députés de l'Assemblée Nationale dans le cadre de la loi de modernisation de la diffusion audiovisuelle et de la télévision du futur, par amendement à l'article 17 de cette loi, dans la soirée du 31 janvier 2007.
Un mois après le cafouillage gouvernemental qui avait conduit au refus de cette mesure, c'est un signal fort qu'ont donné les députés en direction de Bruxelles pour la sauvegarde de l'industrie française du jeu vidéo et un soulagement pour tous les producteurs installés en France.
à l'amendement n 99 de la commission des affaires économiques
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APRÈS L'ARTICLE 17
Compléter cet amendement par l’alinéa suivant :
« VI – Le Gouvernement présente au Parlement un rapport sur la mise en œuvre du crédit d’impôt dans les douze mois suivant la promulgation de la présente loi. Ce rapport comporte un chapitre spécifique sur les modalités d’application du droit d’auteur dans les entreprises de création de jeux vidéo et formule des propositions afin de concilier le droit des auteurs et la sécurité juridique des éditeurs de jeux vidéo. »
EXPOSÉ SOMMAIRE
Ce sous-amendement a pour objectif de prévoir une évaluation du dispositif quelques mois après son entrée en vigueur non seulement sur son efficacité économique mais aussi sur la pertinence des règles juridiques entourant la création d’un jeu vidéo.
En effet, si la réflexion doit concerner le cadre fiscal qui sera mis en place pour aider les entreprises de jeux vidéo, l’occasion doit aussi être saisie de formuler des propositions d’évolution sur la régulation économique et juridique de la création des jeux vidéo en France.
À ce titre, l’application par un certain nombre d’éditeurs de jeux vidéo de la notion d’œuvre collective à ceux qui contribuent à créer les jeux ne va pas sans soulever de problèmes ni d’interrogations.
C’est d’ailleurs pourquoi le Conseil Supérieur de la Propriété Littéraire et Artistique (CSPLA) avait remis, à la suite d’une longue concertation, un rapport en décembre 2005 préconisant l’instauration d’une nouvelle catégorie d’œuvre : l’œuvre multimédia.
Prenant acte que le cadre juridique actuel ne semblait garantir, du fait de son incertitude, ni les droits des auteurs ni la sécurité juridique des investisseurs, le CSPLA avait souhaité élaborer une proposition alternative, restée lettre morte depuis, qui affichait le souci d’identifier les auteurs de l’œuvre et de sécuriser la transmission des droits à l’éditeur.
Aussi, parce qu’elle ne semble pas susciter une adhésion totale de la part de tous les intervenants à la chaîne de création, l’application actuelle des droits d’auteur dans les jeux vidéo mériterait que le Gouvernement participe, dans le cadre d’un rapport remis au Parlement, à la éflexion sur la définition d’un cadre juridique de la création qui soit amélioré et affiné."
"Hot Coffee", ces deux mots ont fait couler beaucoup d'encre depuis l'été 2005, date à laquelle un programmeur hollandais découvre en modifiant les fichiers de sauvegarde du jeu Grand Theft Auto : San Andreas édité par Take Two, un mode caché dans le jeu et contenant des scènes sexuelles explicites. S'en suit un scandale monstre et une class action intentée contre l'éditeur par de nombreux joueurs très "choqued".
La procédure judiciaire s'est terminée ces jours ci par une addition assez peu salée pour Take Two.
Ainsi Take Two a fixé les compensations pour les plaignants selon le barème suivant : - remplacement de toute première version du jeu dans le lequel le mode hot coffee était accessible, - en cas de facture du jeu : 35 $ - la seule mention de l'achat du jeu sur un relevé de banque : 17.50 $ - la simple possession du jeu : 10 $ - et même dans le cas où le plaignant n'a pas le jeu, une compensation de 5 $ est prévue à la condition que le plaignant jure avoir été vraiment "offensé et affligé".
Pas de compensation pour les avocats représentants les plaignants mais une somme rondelette d'honoraires d'1 million de dollars.
On touche là le gros défaut des class action à l'américaine, l'aubaine n'est jamais ou peu souvent du coté des plaignants mais de celui des avocats qui conduisent l'action collective car ces-derniers fixent leurs honoraires suivant un pourcentage sur les dommages et intérêts obtenus ou sur celui de la transaction. On parle alors de "transactions par bons d'achats".
Notons que le rapport Attali, préconise dans le chapitre concernant la mobilité économique, la création d'action de groupe pour renforcer les pouvoirs du consommateur. Il faudra alors veiller dans la rédaction de la loi à ce que les dérives américaines ne fassent pas partie du package.