Comme chaque vendredi soir, Gamekult vous propose un résumé complet de l'actualité dans une émission dédiée aux sorties de la semaine. Pour cette nouvelle édition de Gamekult, le Mag, vous retrouverez ainsi en moins de 10 minutes l'essentiel de l'actualité, particulièrement chiche... mais néanmoins "marquée" par la sortie du Parrain 2 et de The Legend of Zelda : Majora's Mask.
Nous nous sommes également penchés sur le cas du Xbox Live Arcade en compagnie d'un développeur français, Load Inc., dans "3 questions à...". On y évoque les difficultés à s'imposer sur le service de téléchargement de Microsoft, un terrain encore jeune mais déjà miné pour certains petits studios. Vous retrouverez, enfin, le traditionnel "Zapping de l'actu" pour être à jour côtés infos avant de partir en week-end. A noter que le programme est aussi accessible en format podcast pour les joueurs nomades. Il suffit de copier ce lien dans iTunes dans le menu "Avancé", puis de sélectionner "S'abonner au podcast". Quant à la version PSP, elle, est accessible à cette adresse. Bon visionnage et n'hésitez pas à faire part de vos commentaires, cela va de soi.
Pour son grand retour en jeu vidéo après une bonne décennie passée au placard, le jeu de rôle papier L'Oeil Noir fait le voyage chez ses compatriotes de Radon Labs pour un Drakensang au doux parfum de RPG à l'ancienne. Et il n'y a pas eu tromperie sur la marchandise, car cette nouvelle incursion dans le royaume de l'Aventurie est bien le retour ou la continuation espérée par certains d'une certaine tradition du genre, avec ses qualités mais aussi ses défauts. Drakensang a-t-il suffisamment de coffre(s) pour réussir à captiver le chaland, réponse en quelques paragraphes... Lire le Test complet
Prétendre ressusciter une licence des années 80 en s'essayant au passage à un genre casse-pipe, difficile d'imaginer meilleure configuration pour rater un jeu. La Team 17 ne s'y est d'ailleurs pas trompée en tentant de faire de Leisure Suit Larry, jeu d'aventure à l'humour subtilement gras, un simili GTA-like au coeur d'un studio de cinéma à l'atmosphère lourdement libidineuse. Pour faire simple, tout ce qu'ont fait les développeurs se solde ici par un lamentable désastre. La réalisation ? Pourtant bâti sur l'Unreal Engine, Box Office Bust se retrouve avec des graphismes volontairement rondelets et caricaturaux, mais au final tout juste digne d'un jeu pour gamin sur PS2. Et comme si cela ne suffisait pas, ralentissements, clipping et enchevêtrements de polygones s'invitent constamment, comme pour prouver le manque total de maîtrise de la Team 17. Le gameplay ? Dans un petit monde ouvert où l'on circule librement à pieds ou dans des voiturettes miteuses, on ne fait qu'accepter une à une des missions a priori variées, alternant phases de plates-formes, recherche et autre combat. Elles ont malheureusement pour dénominateur commun une linéarité et un manque d'intérêt dramatiques. C'est ennuyeux, quelconque, parfois même injouable et frustrant. Bref, inutile. Pour parachever cette oeuvre incroyable, l'humour grivois que tente de distiller le jeu tombe toujours à plat, quand il ne sombre pas dans la vulgarité gratuite. Bref, on est bien loin de l'esprit originel de la série. Difficile, en tout cas, de savoir ce qui a pu motiver le développement d'un tel titre - et sa sortie en l'état. Mais une chose est sûre, l'abstinence a parfois du bon. Lire le Test flash
Avec "End of Eternity", tri-Ace pousse encore plus loin le paradoxe pour son prochain RPGNext Gen. Lancé il y a une dizaine de jours, le compte à rebours révèle aujourd'hui les premières images de ce titre qui ne sera non plus édité chez Square Enix, partenaire habituel du studio, mais chez Sega.
Plongé dans un futur apocalyptique, End of Eternity décrit une Terre laissée à l'abandon. Les survivants se sont réfugiés au sein d'une gigantesque tour d'acier qu'ils appellent Bazel, un lieu où la hiérarchie sociale est respectée stricto sensu : l'organisation religieuse dirigée par le Cardinal et la noblesse hantent le sommet de la tour, tandis que les miséreux peuplent les niveaux inférieurs. C'est dans ce contexte inégalitaire que le joueur fera connaissance avec les trois héros de l'aventure, Zaphyr, Vashyron et la frêle "Subject #20", une jeune fille "produite" pour les besoins d'une expérience. Condamnée à vivre 20 ans et pas un jour de plus, l'héroïne a décidé de fuir sa destinée à l'aide de ses compagnons. Le système de jeu distinguera les phases d'exploration à l'extérieur et à l'intérieur des donjons, en adoptant deux points de vue différents ; dans un cas, des déplacements sur une grille hexagonale avec des combats aléatoires, dans l'autre une vue à la troisième personne plus habituelle qui permet de voir directement l'emplacement des ennemis. Encore opaque, le système de combat se déroulera en semi-temps réel, laissant le joueur contrôler l'un des trois personnages. End of Eternity est prévu pour l'hiver prochain au Japon. Voir les images
Dire que le Third Person Shooter est un genre à la mode ces derniers temps est un bel exemple d'euphémisme à enseigner dans les écoles. Tout le monde y va de sa petite tentative, plus ou moins de qualité d'ailleurs, et s'évertue à trouver la petite idée qui saura donner à son gameplay un caractère vaguement inédit. Pour sa part, Eat Lead s'est engagé sur une pente plutôt glissante en essayant d'aborder le problème sous l'angle de l'ironie et du second degré outrancier. Pour un résultat drôle, mais surtout, un drôle de résultat... Lire le Test express
Ali, Frazier, Tyson... Ils sont tous passés un jour ou l'autre dans les mains de Don King. Ce promoteur américain organisa quelques-uns des plus célèbres combats de l'Histoire. À 77 ans, il profite encore de sa notoriété pour vendre son nom à un éditeur, même si cela ne suffit pas à faire un bon jeu. Connaissant le passé houleux du personnage, il fallait s'attendre à une petite filouterie. Lire le Test express
12h 07 - Rumeur Xbox360Achievements a remarqué une icône oubliée sous le bras de l'avatar d'un employé de Rare. La personne y étant représentée étant apparemment Joanna Dark, la rumeur voudrait que le studio redonne vie à Perfect Dark par l'intermédiaire du Xbox Live Arcade.On attendra toutefois un commentaire officiel avant de fêter le retour de l'un des FPS de référence de l'époque N64.
Pas de retard à l'allumage : The King of Fighters XII, le dernier volet en date du célèbre jeu de baston de SNK Playmore, est officiellement disponible depuis aujourd'hui dans la plupart des salles d'arcade du Japon. Un événement pour tous les fans du genre, d'autant plus que cet épisode offre une refonte graphique on ne peut plus spectaculaire.
SNK Playmore le prouve en proposant trois nouvelles vidéos pour fêter l'arrivée de son jeu en salles, un titre qui tourne rappelons-le sur la carte arcade Type-X² de Taito. Le trio introduit avec le millésime 2003 offre un aperçu de tout son talent, avec tour à tour Ash Crimson, Duolon et Shen le puncheur. Pour rappel, The King of Fighters XII aura droit à une sortie mondiale courant juillet sur PlayStation 3 et Xbox 360. Voir les images
L'éditeur japonais se fend aujourd'hui d'un site teaser on ne peut plus minimaliste, qui ouvrira le 17 avril prochain sur le prochain volet de la série. Il faudra pour l'heure se contenter d'une phrase énigmatique, "Tous les sentiments s'entrecroisent", à défaut d'avoir davantage de précisions sur la plate-forme retenue ou même le genre du jeu. Un peu de patience, donc. Voir l'image
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