Deux ans et demi après le premier volet sur PC, la série Call of Juarez se voit enfin prolongée d'une suite, toujours sous la bienveillance des Polonais de Techland. Bien décidés à corriger les errances et imperfections de l'épisode fondateur, ils se sont donc mis au boulot pour, cette fois-ci, explorer le passé de Ray, le fameux révérend qui prêchait jadis la bonne parole à coups de révolver. Nous voici donc à nouveau plongé dans l'Ouest sauvage et lointain, dans une ambiance digne d'un film de Sergio Leone, prêt à répondre pour la seconde fois à l'appel de Juarez. Espérons que la ligne ne soit pas occupée. Lire le Test complet
Pris d'une véritable frénésie, Activision s'est mis en tête d'inonder le marché de ses jeux musicaux, avec cinq sorties différentes pour la seule année 2009. Après Guitar Hero : Metallica, sorti il y a un mois et demi, voici Guitar Hero : Greatest Hits, qui reprend évidemment la structure de son tout jeune prédécesseur : une quarantaine de chansons, toutes débloquées dès le départ, et un mode Carrière sans fioritures. De la même manière, le jeu ne supporte aucun DLC, une honte pour une mise à jour de World Tour vendue au prix fort, et il propose un gameplay sans grande nouveauté pour les habitués : efficace à la guitare, mais toujours aussi bancal à la batterie et en multijoueur. Son véritable argument, c'est bien sûr sa tracklist : pot-pourri des cinq premiers Guitar Hero, de l'original sur PS2 à Guitar Hero : Aerosmith, elle se montre particulièrement puissante et comprend certains des incontournables de la série en version originale, de Bark at the Moon à Cowboys from Hell, sans oublier évidemment Free Bird, tout cela enfin jouable à tous les instruments. De quoi rappeler de fous souvenirs aux vétérans. Pourtant, malgré les apparences, ils ne semblent pas être la cible de ce best of : toutes les partitions de basse et de guitare ont en effet été refaites, et pas toujours pour le meilleur d'ailleurs. Hérésie ! Les nouveaux accros à la série pourront eux se laisser tenter par cet épisode à la tracklist impériale, mais vendu à un tarif exhorbitant pour ce qui n'est finalement qu'une compilation opportuniste et un brin fainéante. Lire le Test flash
Velvet Assassin est un jeu basé sur une histoire vraie. La grande Histoire, bien sûr, mais aussi la petite. Celle de Violette Szabo, espionne britannique capturée pendant la Seconde Guerre mondiale. Une héroïne toute trouvée pour Replay Studios. Alors que d'autres jouent la carte du conflit massif et grand spectacle, le développeur allemand plonge dans la brume silencieuse de la France occupée. Lire le Test express
Même les fanatiques le reconnaissent, Dynasty Warriors 6 n'a guère marqué les esprits. Nombre de généraux divisé au moins par deux, coups identiques pour la plupart d'entre eux, caméra vagabonde pour ne pas dire nauséabonde... Qu'importe, à la vitesse où les épisodes se succèdent, le beat'em all de Koei aura de toute façon droit à de multiples sessions de rattrapage. Preuve en est Dynasty Warriors 6 Empires, le versant "politique" de la saga. Comme dans les précédents volets, les manoeuvres en coulisses se limitent à des cartes à jouer, pour bénéficier de bonus, et à une gestion de ses armes et de ses troupes, pour éviter de finir balayé sur le champ de bataille faute de renforts. La nouveauté vient ici du mode "Officier", qui vous place sous l'autorité des généraux (Cao Cao, Sun Jian, etc.) avec différents objectifs à accomplir ou non, c'est au choix - les trahisons sont même autorisées. Les phases de bataille ne révolutionnent hélas pas la formule, aussi défoulante que répétitive et limitée, faute d'I.A. adverse. Si la partie graphique est toujours aussi indigente, on note néanmoins que chacun des généraux de Dynasty Warriors 6 dispose à présent d'une panoplie de coups différenciée. Hélas, il faut toujours composer avec des clones pour les officiers. Mais à défaut d'offrir du nouveau côté généraux, mis à part le redoutable barbare Meng Huo, cette version Empires voit le retour du mode Création de personnages. Bref, pour qui ne craint pas l'entorse du pouce, Dynasty Warriors 6 Empires et sa demi-douzaine de campagnes proposent un contenu pantagruélique. Dommage que certains défauts inhabituels refassent surface, comme la résistance disproportionnée des généraux ennemis, là où les troufions s'effondrent en deux coups. Lire le Test flash
Voici de nouvelles images extraites de ce second jeu, qui s'inscrira logiquement dans la lignée de son prédécesseur, testé récemment ici-même. Voir les images
Namco Bandai divulgue de nouvelles images de Dragon Ball : Raging Blast, le prochain jeu de baston mettant en scène Sangoku, Vegeta et toutes les vedettes de l'oeuvre majeure de Toriyama.
Faut-il le rappeler, la sortie de ce nouveau Dragon Ball est prévue pour l'automne prochain sur Xbox 360 et PlayStation 3. Voir les images
Sale temps pour Blue Omega Entertainment, le développeur de Damnation dont l'équipe entière a récemment été remerciée en fin de mois dernier, comme on peut le lire sur le compte Twitter de Geoff Rowland, un des programmeurs. Confirmés auprès de Kotaku, ces licenciements sont vraisemblablement liés à des contentieux judiciaires entre le studio, son éditeur Codemasters et deux autres développeurs - Point of View et Velvetelvis Studios - embauchés en 2007 pour aider à la conception de Damnation. Selon des documents légaux récupérés par Shacknews, Codemasters aurait mis fin à son accord de développement avec Blue Omega à la mi-janvier tout en continuant à faire travailler Point of View sur Damnation, tandis que Velvetelvis Studios aurait fourni un travail insuffisant pour pouvoir respecter les délais de production fixés par l'éditeur. Pour finir, les faibles ventes du jeu lors de sa sortie auraient également pesé dans la balance.
En attendant sa sortie fin août, Batman : Arkham Asylum continue de faire parler de lui avec la mise en ligne d'une nouvelle vidéo.
Ce Behind the Scenes #1, un carnet de développeur en fait, donne finalement assez peu d'infos sur le jeu mais permet en revanche d'apercevoir pas mal de séquences de gameplay du titre de Rocksteady Studios, au montage hélas un peu hâché. Pour en savoir plus sur le titre, un coup d'oeil sur nos impressions s'impose.
Pour mémoire, ce titre inédit proposera de revivre la jeunesse de Sangoku dans un jeu d'action-aventure où s'entremêlent combat, plates-formes et beat'em all. Si la jouabilité a été d'abord pensé pour le duo Wiimote et Nunchuk, le jeu sera également compatible avec la manette classique et le pad GameCube. La sortie japonaise est calée au 23 juillet, tandis que les autres versions devraient débarquer cet automne. Voir les images
11h 12 - Vidéo Après avoir ressurgi de l'ombre au printemps pour ensuite se montrer au grand jour à l'E3, Splinter Cell Conviction fait aujourd'hui l'objet d'un premier carnet de développeur, expliquant les changements apportés au gameplay du jeu par rapport aux anciens épisodes. Sauf retournement de dernière minute, le jeu d'action et d'infiltration d'Ubisoft arrivera cet automne sur Xbox 360.
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