Alaplaya vous propose de télécharger et de jouer gratuitement à Land of Chaos Online, son nouveau MMORPG qui associe des éléments de stratégie en temps réel et de DotA (un mod célèbre pour Warcraft III) aux principes traditionnels du jeu de rôle en ligne.
Cette version du jeu intègre toutes les améliorations et mises à jour en date, dont :
- un nouveau mode de classement : cinq-sur-cinq- un nouvelle carte : "Champ de bataille des Immortels"
- un nouveau mode PvE : "Fôret de Maros"- une nouvelle héroïne : "Delphi"- de toutes nouvelles instructions de style MOBA- un système d'artéfacts entièrement revisé
Configuration minimum : Windows 2000/XP, processeur Intel Core 2, 1 Go de RAM, carte graphique GeForce 6600, 1 Go d'espace libre sur le disque dur.
Configuration conseillée : Windows 2000/XP/Vista 7, processeur Intel Core 2 Duo, 2 Go de RAM, carte graphique GeForce 7600, 2 Go d'espace libre sur le disque dur.
Date : 16-07-2011 | Téléchargé : 23.559 fois Taille : 1.22 Go
Electronic Arts continue d'abreuver les fidèles joueurs des Sims 3 de nouveaux contenus plus ou moins riches en valeur ajoutée, et la fournée n'est d'ailleurs pas encore terminée ! Début septembre, c'est le monde de la magie et du surnaturel qui sera mis en avant, avec notamment l'apparition de nouvelles races de Sims. Visite guidée.
L'éditeur nous a offert l'opportunité de nous faire une première idée de cette extension nommée Les Sims 3 Super-pouvoirs, en nous fournissant une version preview de la bête. L'occasion pour nous, joueurs passionnés et surtout très curieux, de découvrir le contenu privilégié par Electronic Arts. Car une chose est sûre, celui-ci est attendu au tournant par la communauté, qui, malgré le fait qu'elle n'hésite pas encore à débourser quelques dizaines d'euros pour chaque ajout au jeu de base, espère au moins avoir droit à du contenu original et de qualité. Pour Super-pouvoirs, les joueurs pourront donc avoir accès à une nouvelle ville nommée Moonlight Falls, accueillant des êtres surnaturels forcément dotés de pouvoirs exceptionnels. En effet, en allant dans l'interface de création d'un Sim, on se rend vite compte qu'il est possible de choisir son espèce. Vous voulez incarner une sorcière, un vampire (race un peu améliorée, introduite dans l'add-on Accès VIP), un loup-garou, une fée, un fantôme ou un génie ? C'est maintenant possible ! On s'en doute, chaque race dispose de ses particularités, et on le découvre par exemple rapidement en papillonnant dans les divers onglets propres à la création de nos petits bonshommes, l'un d'entre eux nous permettant notamment de personnaliser l'aspect des ailes de nos fées. Comme pour chaque extension, de nouveaux traits de caractère font également leur apparition, ce qui modifie forcément légèrement les réactions de nos Sims et les interactions possibles, en cours de partie. Ceux-ci pourront donc maintenant se montrer propices à l'introspection, avec une attitude respectable, être un véritable oiseau de nuit ou encore dénicher facilement des trésors. Les traits «fan de supernaturel» ou au contraire «sceptique au supernaturel» sont aussi de la partie.
Oh, un bébé fée ! Elle est tout mignonne !
En cours de partie, ces nouveautés se font forcément sentir. Au-delà des divers objets liés au thème du surnaturel qu'il sera possible d’acquérir en mode Achat, quelques éléments perturbent aussi notre petite routine bien établie. Les sorcières, race privilégiée lors de notre essai, disposent par exemple d'une baguette magique qui leur permet de lancer des sorts. Cette faculté doit être exercée de manière classique, ce qui permet d'augmenter ensuite l'arsenal de sortilèges disponibles. On pourra par exemple transformer un objet de notre inventaire en un autre, lancer un sort de chance... Autre petit ajout sympathique : la présence de balais magiques qui remplacent la voiture ! D'autre part, une carrière inédite liée à la voyance fait aussi son apparition. Pour faire vos petites prédictions, il faudra donc vous rendre dans une caravane placée dans la nature, comme sur un lieu de travail classique. Un système assez intéressant d'alchimie semble aussi avoir été mis en place. On attendra notre phase de test pour se prononcer plus amplement à ce sujet, mais sachez qu'il est possible d'utiliser des ingrédients et des pierres récoltées dans les environnements de Moonlight Falls pour concocter ces petites potions. On s'en doute, il faudra aussi faire des recherches sur l'alchimie pour être à même de préparer des breuvages plus complexes, et donc plus impressionnants.
Pour travailler comme voyante, c'est ici que ça se passe !
Qui dit univers surnaturel implique également monstres et dangers... L'extension nous apporte un cycle lunaire, qui agit forcément sur les zombies et les loup-garous. Ces derniers ont d'ailleurs la faculté de se transformer en loup à leur guise, en apprenant à contrôler leur instinct animal. Et lors des phases de pleine lune, vos Sims pourront faire de fâcheuses rencontres dans la nature. En effet, des zombies sortent alors du sol et peuvent vous attaquer ! De plus, la lune a aussi une influence sur les sorts lancés ou les potions créées. Bref, avec Les Sims 3 : Super-pouvoirs, Electronic Arts pourrait bien parvenir à contenter les fans les plus acharnés, qui trouveront sans doute suffisamment de nouveautés pour ne pas se sentir lésés. Il faut dire que l'intérêt de notre cher jeu de gestion semble encore une fois relancé, mais reste à savoir si cette impression se confirmera lors d'une partie un peu plus classique, et donc un peu plus longue.
NOS IMPRESSIONS
Si les extensions des Sims 3 qui se succèdent tendent à lasser les joueurs en quête de véritables nouveautés, force est de constater que cet add-on Super-pouvoirs semble offrir suffisamment de contenu supplémentaire pour relancer, au moins temporairement, l'intérêt de ce titre maintenant vieillissant. On attend juste d'explorer l'extension un peu plus amplement pour confirmer notre bonne impression.
Konami vous propose de jouer à cette démo de Pro Evolution Soccer 2013. Vous pouvez utiliser quatre sélections nationales (Allemagne, Angleterre, Italie et Portugal) et quatre clubs de la Copa Libertadores (Flamengo, Fluminense, l'Internacional et Santos).
Configuration minimale requise :
- Windows XP, Vista ou 7- Processeur Intel Pentium IV 2.4 GHz ou équivalent- 1 Go de RAM- 1 Go d'espace disque- Carte vidéo NVIDIA GeForce 6200 ou ATI Radeon X1300 ou Intel HD Graphics 2000/3000
Configuration recommandée :
- Windows XP, Vista ou 7- Processeur Intel Core2 Duo 2.0 GHz- 2 Go de RAM- 1 Go d'espace disque- Carte vidéo NVIDIA GeForce 7900 ou AMD/ATI Radeon HD 2400
La démo de FIFA 12 est enfin disponible ! Pour la première fois, cet opus sur PC est identique aux versions PS3 et 360, et inclut également le mode Fifa Ultimate Team. Cette démo propose les équipes de Barcelone, AC Milan, Dortmund, l'Olympique de Marseille, Arsenal et Manchester City.
Configuration minimale
- Windows XP SP2, Windows Vista™, Windows 7- Processeur Dual Core 1,8 GHz (Core Duo 2 ou supérieur)- 1 Go de RAM (2 Go de RAM nécessaire sous Windows Vista / Windows 7)- Carte 3D 256 Mo- Connexion Internet de 512kb/s ou plus pour le jeu en réseau
Incarnez le PDG d’une entreprise de transport ferroviaire et développez le réseau de la ville. De simple bourgade, propulsez-la parmi les plus grandes cités du moment. Prenez les bonnes décisions au bon moment pour attirer les entreprises et contenter les citoyens.
Rimelands : Hammer of Thor est le premier épisode d'une série de jeux de rôle au tour par tour censés nous entraîner dans un monde mystérieux, marqué par les intrigues et les donjons crasseux, tous peuplés de créatures magiques.
Le point and click indépendant Lilly Looking Through se présente dans une légère démo sur Mac, permettant aux joueurs de jeter un coup d'oeil sur son univers charmant et son gameplay à l'ancienne.
Ce client de téléchargement vous permettra de récupérer la version complète de Wakfu, le MMO inspiré par le monde des mangas. Faites votre choix parmi les 14 classes disponibles et partez à la découverte d'un titre très axé sur son aspect communautaire.
Configuration minimum
- Processeur : Pentium® IV 2.8 GHz (ou équivalent Mac), RAM : 512 Mo Carte graphique : GeForce 4Ti (ou équivalent ATI) et + Système d'exploitation : Windows XP et +, Mac 10.4 et +, Linux...
Ski Challenge 2011 vous permet de chausser des skis pour dévaler les pentes de la saison 2011. Défiez le fantôme du meilleur temps de vos amis, invitez-les dans votre championnat et représentez les couleurs de la France et de votre communauté en compétition.
Date : 29-11-2011 | Téléchargé : 7.759 fois Taille : 75 Mo | Langue : français
Officiellement destiné à un public de débutants, le simulateur de vols online Microsoft Flight est enfin disponible gratuitement sur PC. Pas sûr cependant que ce baptême de l'air limité et son cortège de DLC hors de prix parviennent à fidéliser la catégorie de joueurs ciblée comme nous allons le voir sans tarder.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, qu'une chose soit bien claire : Microsoft Flight, dans sa version actuelle, ne s'adresse absolument pas aux vétérans de la série Flight Simulator ou aux passionnés capables d'économiser deux mois de salaire pour reproduire le cockpit d'un Boeing 747 dans leur salon. Microsoft Flight se présente, du propre aveu de ses développeurs comme une initiation à la simulation aérienne. De fait, même si l'expérience proposée reste assez réaliste, d'énormes sacrifices ont été faits pour favoriser l'accès aux néophytes. Toutes les commandes ont été simplifiées, le pilotage est extrêmement permissif et les options disponibles se limitent à l'essentiel. Spécialistes du genre, vous êtes prévenus ; Microsoft Flight n'est pas pour vous !
On peut survoler l'île d'Hawaii en toute liberté.
Totalement gratuit, Microsoft Flight n'a rien à voir non plus avec un jeu complet en termes de contenu. En fait, le soft ne nous permet de survoler que la seule île d'Hawaï à bord de deux avions : le Stearman PT-17 et L'icon A5. Au moment où nous écrivons ce test, une poignée de DLC est disponible pour varier les plaisirs mais les tarifs sont tellement prohibitifs qu'on y réfléchira à deux fois avant de mettre la main au porte-monnaie. Quelques îles supplémentaires à survoler avec un Vans RV-6A (1600 points Microsoft), un Maule M-7-260C (1200 points Microsoft) et un P-51 Mustang sans vue intérieure (640 points Microsoft), il n'y a pas de quoi sauter au plafond. On imagine sans peine qu'une véritable avalanche d'add-on supplémentaires arrivera bientôt mais pour le moment, on n'a décidément pas grand-chose à se mettre sous la dent.
La vue intérieure est parfaite pour les pilotes chevronnés.
Il n'empêche que pour se familiariser avec le pilotage d'un avion, la poignée de tutoriels dont on dispose avec le téléchargement de base remplit correctement son rôle. Assisté par une monitrice enthousiaste, le joueur ne mettra pas plus d'une petite heure pour maîtriser les différentes étapes d'un vol. Contrairement aux Flight Simulator qui nous obligent à assimiler des tonnes d'éléments, la plupart des tâches sont automatisées. Il suffit par exemple d'appuyer sur une simple touche pour passer toutes les checklists et s'épargner les vérifications fastidieuses auxquelles doit s'astreindre tout pilote digne de ce nom avant de décoller. Ici, on allume le moteur, on met les gaz à fond et hop, nous voilà déjà dans le ciel. Au clavier, à la souris ou au joystick, nos avions se manient aussi facilement que des voitures et malgré les conditions météo parfois ingrates, il faut vraiment se montrer maladroit pour finir au tapis. Dans le même ordre d'idées, on peut largement se permettre d'atterrir comme un sac de patates sans subir le moindre dommage. Heureusement, il est possible de désactiver toutes les aides au pilotage pour vivre une expérience bien plus proche de la réalité. Et bien que la complexité des mécanismes de jeu ne soit pas toujours comparable avec des simulations de vols pures et dures, la plupart des amateurs du genre devraient s'en satisfaire.
La zone de jeu est extrêmement limitée pour le moment.
Si les joueurs occasionnels se contenteront de la vue extérieure pour piloter leur zinc en toute simplicité, les joueurs plus exigeants passeront rapidement en vue cockpit. Ils auront alors tous les instruments sous les yeux et ils pourront modifier la plupart des paramètres de vol à volonté. Le champ de vision s'en trouve certes altéré (en particulier dans l'antique Stearman PT-17) mais comme on peut regarder autour de nous en maintenant la molette de la souris appuyée, cela ne pose pas de problème majeur. De toute façon, quand on vole de nuit, on ne voit absolument rien. Quelle que soit la caméra choisie, diverses informations apparaissent en permanence sur l'écran comme la vitesse, l'altitude ou le cap. Une croix fixe nous permet également de visualiser plus facilement nos manœuvres. Destinés aux néophytes, tous ces éléments peuvent être désactivés quand bon nous semble dans un menu afin de vivre une expérience plus proche de la réalité.
L'icon A5 est l'avion idéal pour apprendre à piloter.
Outre son mode libre actuellement limité à la seule région d'Hawaï, Flight Simulator comprend pas mal de missions allant de la livraison de cargaisons, au transport de passagers en passant par de la voltige ou des sauvetages. On les choisit à partir de la carte générale et on peut les refaire à volonté. La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible de franchir directement certaines étapes ennuyeuses de ces missions en appuyant sur une touche. On s'évite ainsi d'aller garer notre avion après un atterrissage ou de survoler bêtement la mer pendant 10 minutes. Pour le reste, ce n'est pas bien sorcier. On fait attention à ne pas abîmer nos chargements en évitant de virer brutalement, on survole des sites précis pour prendre de belles photos ou on longe une côte afin de retrouver un kayakiste porté disparu. Certaines missions plus techniques nous demandent aussi d'atterrir à tel endroit avec tel avion ou de passer à travers des cerceaux disposés dans le ciel. Rien de bien original mais ça nous permet de gagner des trophées et des points d'expérience pour faire monter notre niveau et accéder à de nouveaux défis.
Mais oui, cet antique coucou vole encore !
Nous terminerons ce tour d'horizon de Microsoft Flight en précisant qu'à l'instar de ses prédécesseurs, le soft est assez gourmand en ressources. Il faut dire que les paysages comme les effets météo sont tout à fait satisfaisants pour un jeu gratuit. L'intérieur des avions est très détaillé, leurs carlingues sont soignées et les ombres portées en temps réel sont impressionnantes. Seul ou en ligne (jusqu'à 16 participants), les vols sont fluides et la sensation de vitesse est bonne. L'environnement sonore est tout aussi satisfaisant avec des bruits de moteurs crédibles, des doublages français de qualité et des thèmes musicaux sympathiques. Au final, le principal handicap de cet épisode téléchargeable grand public reste surtout le manque de contenu souligné précédemment. Une île, deux avions et une poignée de missions, ce n'est pas suffisant pour retenir l'attention bien longtemps. Et au prix où sont vendus les DLC actuellement, il n'est pas dit que beaucoup de joueurs souhaitent prolonger l'aventure.
LES NOTES
Graphismes
15/20
La carlingue et le cockpit des avions sont bien modélisés, les paysages sont agréables à survoler et les effets météo sont honnêtes. Quand on s'approche trop du sol, les choses se gâtent un peu mais la qualité graphique générale est bonne sur un PC performant.
Jouabilité
14/20
Facile à prendre en main, Microsoft Flight conviendra à tous les débutants souhaitant acquérir quelques notions de pilotage. Les joueurs plus expérimentés peuvent désactiver les nombreuses aides disponibles mais l'expérience reste loin d'un Flight Simulator en termes de complexité. Très classiques, les missions nous permettent de varier un peu les plaisirs entre deux vols libres.
Durée de vie
8/20L'aire de jeu se limite à la seule île d'Hawaï et les deux avions offerts avec le téléchargement gratuit sont de véritables bicyclettes volantes. Les DLC proposés au lancement du soft ne sont pas très alléchants et ils coûtent surtout beaucoup trop cher.
Bande son
15/20
Le bruit des moteurs est réaliste et les doublages en français sont corrects. Les thèmes musicaux plutôt réussis collent bien avec l'atmosphère du jeu.
Note Générale
12/20
Bien réalisé et facile à prendre en main, Microsoft Flight permettra aux néophytes de découvrir les bases du pilotage en douceur. Néanmoins, à l'heure où nous écrivons ce test, son manque flagrant de contenu et le tarif trop élevé de ses DLC risquent de décourager plus d'un aviateur en herbe. De leur côté, les vétérans de Flight Simulator et les stakhanovistes des simulations réalistes peuvent passer leur chemin sans l'ombre d'une hésitation.
Voilà, 2011 s’achève dans la joie et la bonne humeur et les vieux calendriers laissent finalement la place aux nouveaux. Et si l'avènement de la nouvelle année constitue l'occasion de prendre de bonnes résolutions et de donner enfin corps à nos rêves, c'est aussi le bon moment pour penser aux futurs hits qui abreuveront nos machines dans les 12 mois à venir. Nous vous proposons donc dès aujourd'hui un classement des 20 jeux de 2011 qui suscitent chez nous le plus d'impatience. Bien sûr, nous n'avons pas la chance de posséder une boule de cristal, et une partie des jeux présents ici pourraient finalement s'avérer décevants, voire sortir l'année suivante, alors que des titres absents de ces pages finiront avec des éloges mérités. En outre, il vous faut garder en tête que seuls sont présents dans ce dossier les jeux pour lesquels nous disposons d'informations officielles à l'heure où nous écrivons ces lignes. Inutile donc de vous apitoyer sur l'absence de tel ou tel blockbuster potentiel. Ceci étant bien clair, il ne nous reste plus qu'à plonger gaiement dans le futur, un futur dont on espère toutefois de très jolies surprises.
Fans de Lara Croft, préparez-vous à un sacré choc ! Ce nouveau Tomb Raider s'en vient suivre la voie de nombreuses autres licences en se présentant sous la forme d'un authentique reboot de la série.
On y découvrira une Lara Croft entièrement relookée et âgée de seulement 21 ans qui se retrouve perdue sur une île mystérieuse à la suite d'un naufrage. De fait, le jeu prend très rapidement la forme d'un survival orienté action, ce qui ne manquera pas de surprendre les fans. Entre l’esthétique hyper travaillée de la magnifique Lara, l’ambiance glauque à la lisière du surnaturel de l'île, la violence crue de certaines scènes, les graphismes somptueux ainsi que le gameplay novateur vis-à-vis de la saga, il y a de quoi véritablement s’emballer. Du coup, le jeu s'octroie logiquement la seconde place de notre classement des jeux les plus attendus de 2011.
C'est sûr, rien ne garantit que GTA V sortira bien en 2011, mais il est tout simplement impossible de refréner notre envie de mettre les mains sur le nouveau bébé de Rockstar le plus rapidement possible. Pour ceux qui n'auraient pas suivi, rappelons que Grand Theft Auto V nous ramènera dans la région de San Andreas, à l'endroit même où de nombreux joueurs ont déjà vécu les aventures de CJ, alias Carl Johnson. Cela dit, le jeu ne présentera finalement que Los Santos et ses alentours. La bonne nouvelle, c'est que les joueurs retrouveront les zones rurales qui avaient fait leur bonheur dans GTA : San Andreas. Mais c'est encore mieux quand on apprend de la bouche même du fondateur de Rockstar que GTA 5 sera le titre le plus vaste et le plus ambitieux jamais créé par le studio !. Evidemment, le concept ne changera pas par rapport aux précédents opus puisque l'on retrouvera la liberté d'un monde ouvert, des personnages profonds, un gameplay basé sur des missions ainsi qu'un mode multijoueur. Au final, il ne nous reste plus qu'à baver en visionnant encore et encore le magnifique trailer de la bête.
Fans de Lara Croft, préparez-vous à un sacré choc ! Ce nouveau Tomb Raider s'en vient suivre la voie de nombreuses autres licences en se présentant sous la forme d'un authentique reboot de la série.
On y découvrira une Lara Croft entièrement relookée et âgée de seulement 21 ans qui se retrouve perdue sur une île mystérieuse à la suite d'un naufrage. De fait, le jeu prend très rapidement la forme d'un survival orienté action, ce qui ne manquera pas de surprendre les fans. Entre l’esthétique hyper travaillée de la magnifique Lara, l’ambiance glauque à la lisière du surnaturel de l'île, la violence crue de certaines scènes, les graphismes somptueux ainsi que le gameplay novateur vis-à-vis de la saga, il y a de quoi véritablement s’emballer. Du coup, le jeu s'octroie logiquement la seconde place de notre classement des jeux les plus attendus de 2011.
C'est sûr, rien ne garantit que GTA V sortira bien en 2011, mais il est tout simplement impossible de refréner notre envie de mettre les mains sur le nouveau bébé de Rockstar le plus rapidement possible. Pour ceux qui n'auraient pas suivi, rappelons que Grand Theft Auto V nous ramènera dans la région de San Andreas, à l'endroit même où de nombreux joueurs ont déjà vécu les aventures de CJ, alias Carl Johnson. Cela dit, le jeu ne présentera finalement que Los Santos et ses alentours. La bonne nouvelle, c'est que les joueurs retrouveront les zones rurales qui avaient fait leur bonheur dans GTA : San Andreas. Mais c'est encore mieux quand on apprend de la bouche même du fondateur de Rockstar que GTA 5 sera le titre le plus vaste et le plus ambitieux jamais créé par le studio !. Evidemment, le concept ne changera pas par rapport aux précédents opus puisque l'on retrouvera la liberté d'un monde ouvert, des personnages profonds, un gameplay basé sur des missions ainsi qu'un mode multijoueur. Au final, il ne nous reste plus qu'à baver en visionnant encore et encore le magnifique trailer de la bête.
Officiellement destiné à un public de débutants, le simulateur de vols online Microsoft Flight est enfin disponible gratuitement sur PC. Pas sûr cependant que ce baptême de l'air limité et son cortège de DLC hors de prix parviennent à fidéliser la catégorie de joueurs ciblée comme nous allons le voir sans tarder.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, qu'une chose soit bien claire : Microsoft Flight, dans sa version actuelle, ne s'adresse absolument pas aux vétérans de la série Flight Simulator ou aux passionnés capables d'économiser deux mois de salaire pour reproduire le cockpit d'un Boeing 747 dans leur salon. Microsoft Flight se présente, du propre aveu de ses développeurs comme une initiation à la simulation aérienne. De fait, même si l'expérience proposée reste assez réaliste, d'énormes sacrifices ont été faits pour favoriser l'accès aux néophytes. Toutes les commandes ont été simplifiées, le pilotage est extrêmement permissif et les options disponibles se limitent à l'essentiel. Spécialistes du genre, vous êtes prévenus ; Microsoft Flight n'est pas pour vous !
On peut survoler l'île d'Hawaii en toute liberté.
Totalement gratuit, Microsoft Flight n'a rien à voir non plus avec un jeu complet en termes de contenu. En fait, le soft ne nous permet de survoler que la seule île d'Hawaï à bord de deux avions : le Stearman PT-17 et L'icon A5. Au moment où nous écrivons ce test, une poignée de DLC est disponible pour varier les plaisirs mais les tarifs sont tellement prohibitifs qu'on y réfléchira à deux fois avant de mettre la main au porte-monnaie. Quelques îles supplémentaires à survoler avec un Vans RV-6A (1600 points Microsoft), un Maule M-7-260C (1200 points Microsoft) et un P-51 Mustang sans vue intérieure (640 points Microsoft), il n'y a pas de quoi sauter au plafond. On imagine sans peine qu'une véritable avalanche d'add-on supplémentaires arrivera bientôt mais pour le moment, on n'a décidément pas grand-chose à se mettre sous la dent.
La vue intérieure est parfaite pour les pilotes chevronnés.
Il n'empêche que pour se familiariser avec le pilotage d'un avion, la poignée de tutoriels dont on dispose avec le téléchargement de base remplit correctement son rôle. Assisté par une monitrice enthousiaste, le joueur ne mettra pas plus d'une petite heure pour maîtriser les différentes étapes d'un vol. Contrairement aux Flight Simulator qui nous obligent à assimiler des tonnes d'éléments, la plupart des tâches sont automatisées. Il suffit par exemple d'appuyer sur une simple touche pour passer toutes les checklists et s'épargner les vérifications fastidieuses auxquelles doit s'astreindre tout pilote digne de ce nom avant de décoller. Ici, on allume le moteur, on met les gaz à fond et hop, nous voilà déjà dans le ciel. Au clavier, à la souris ou au joystick, nos avions se manient aussi facilement que des voitures et malgré les conditions météo parfois ingrates, il faut vraiment se montrer maladroit pour finir au tapis. Dans le même ordre d'idées, on peut largement se permettre d'atterrir comme un sac de patates sans subir le moindre dommage. Heureusement, il est possible de désactiver toutes les aides au pilotage pour vivre une expérience bien plus proche de la réalité. Et bien que la complexité des mécanismes de jeu ne soit pas toujours comparable avec des simulations de vols pures et dures, la plupart des amateurs du genre devraient s'en satisfaire.
La zone de jeu est extrêmement limitée pour le moment.
Si les joueurs occasionnels se contenteront de la vue extérieure pour piloter leur zinc en toute simplicité, les joueurs plus exigeants passeront rapidement en vue cockpit. Ils auront alors tous les instruments sous les yeux et ils pourront modifier la plupart des paramètres de vol à volonté. Le champ de vision s'en trouve certes altéré (en particulier dans l'antique Stearman PT-17) mais comme on peut regarder autour de nous en maintenant la molette de la souris appuyée, cela ne pose pas de problème majeur. De toute façon, quand on vole de nuit, on ne voit absolument rien. Quelle que soit la caméra choisie, diverses informations apparaissent en permanence sur l'écran comme la vitesse, l'altitude ou le cap. Une croix fixe nous permet également de visualiser plus facilement nos manœuvres. Destinés aux néophytes, tous ces éléments peuvent être désactivés quand bon nous semble dans un menu afin de vivre une expérience plus proche de la réalité.
L'icon A5 est l'avion idéal pour apprendre à piloter.
Outre son mode libre actuellement limité à la seule région d'Hawaï, Flight Simulator comprend pas mal de missions allant de la livraison de cargaisons, au transport de passagers en passant par de la voltige ou des sauvetages. On les choisit à partir de la carte générale et on peut les refaire à volonté. La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible de franchir directement certaines étapes ennuyeuses de ces missions en appuyant sur une touche. On s'évite ainsi d'aller garer notre avion après un atterrissage ou de survoler bêtement la mer pendant 10 minutes. Pour le reste, ce n'est pas bien sorcier. On fait attention à ne pas abîmer nos chargements en évitant de virer brutalement, on survole des sites précis pour prendre de belles photos ou on longe une côte afin de retrouver un kayakiste porté disparu. Certaines missions plus techniques nous demandent aussi d'atterrir à tel endroit avec tel avion ou de passer à travers des cerceaux disposés dans le ciel. Rien de bien original mais ça nous permet de gagner des trophées et des points d'expérience pour faire monter notre niveau et accéder à de nouveaux défis.
Mais oui, cet antique coucou vole encore !
Nous terminerons ce tour d'horizon de Microsoft Flight en précisant qu'à l'instar de ses prédécesseurs, le soft est assez gourmand en ressources. Il faut dire que les paysages comme les effets météo sont tout à fait satisfaisants pour un jeu gratuit. L'intérieur des avions est très détaillé, leurs carlingues sont soignées et les ombres portées en temps réel sont impressionnantes. Seul ou en ligne (jusqu'à 16 participants), les vols sont fluides et la sensation de vitesse est bonne. L'environnement sonore est tout aussi satisfaisant avec des bruits de moteurs crédibles, des doublages français de qualité et des thèmes musicaux sympathiques. Au final, le principal handicap de cet épisode téléchargeable grand public reste surtout le manque de contenu souligné précédemment. Une île, deux avions et une poignée de missions, ce n'est pas suffisant pour retenir l'attention bien longtemps. Et au prix où sont vendus les DLC actuellement, il n'est pas dit que beaucoup de joueurs souhaitent prolonger l'aventure.
LES NOTES
Graphismes
15/20
La carlingue et le cockpit des avions sont bien modélisés, les paysages sont agréables à survoler et les effets météo sont honnêtes. Quand on s'approche trop du sol, les choses se gâtent un peu mais la qualité graphique générale est bonne sur un PC performant.
Jouabilité
14/20
Facile à prendre en main, Microsoft Flight conviendra à tous les débutants souhaitant acquérir quelques notions de pilotage. Les joueurs plus expérimentés peuvent désactiver les nombreuses aides disponibles mais l'expérience reste loin d'un Flight Simulator en termes de complexité. Très classiques, les missions nous permettent de varier un peu les plaisirs entre deux vols libres.
Durée de vie
8/20L'aire de jeu se limite à la seule île d'Hawaï et les deux avions offerts avec le téléchargement gratuit sont de véritables bicyclettes volantes. Les DLC proposés au lancement du soft ne sont pas très alléchants et ils coûtent surtout beaucoup trop cher.
Bande son
15/20
Le bruit des moteurs est réaliste et les doublages en français sont corrects. Les thèmes musicaux plutôt réussis collent bien avec l'atmosphère du jeu.
Note Générale
12/20
Bien réalisé et facile à prendre en main, Microsoft Flight permettra aux néophytes de découvrir les bases du pilotage en douceur. Néanmoins, à l'heure où nous écrivons ce test, son manque flagrant de contenu et le tarif trop élevé de ses DLC risquent de décourager plus d'un aviateur en herbe. De leur côté, les vétérans de Flight Simulator et les stakhanovistes des simulations réalistes peuvent passer leur chemin sans l'ombre d'une hésitation.