Comme chaque vendredi, Gamekult vous propose son résumé complet de l'actualité dans une émission dédiée aux sorties hebdomadaires. Pour cette nouvelle édition de Gamekult, le Mag, vous retrouverez ainsi en moins de 10 minutes l'essentiel de l'actualité et des jeux à suivre. Cette semaine, nos projecteurs sont braqués sur la sortie de FIFA 10, la nouvelle fournée footballistique signée EA Sports.
Egalement au menu pour ce numéro, notre découverte de l'association MO5, fondée autour de la passion du retro-gaming et de l'archivage des vieilles consoles de jeu. Ces quelques mordus de jeu vidéo militent pour la constitution et la reconnaissance d'un véritable patrimoine vidéoludique, et cherchent à sensibiliser les jeunes joueurs à la nécessité de sauvegarder les jeux et machines de jadis. Nous les avons rencontrés afin de discuter, avec eux, des problématiques de mémoire du jeu vidéo - un combat auquel vous pouvez vous associer en devenant adhérent de MO5, moyennant une cotisation annuelle de 15 euros. Vous retrouverez, enfin, le traditionnel "Zapping de l'actu" pour être à jour côté infos avant de partir en week-end. A noter que le programme est aussi accessible en format podcast pour les joueurs nomades. Il suffit de copier ce lien dans iTunes dans le menu "Avancé", puis de sélectionner "S'abonner au podcast". Quant à la version PSP, elle est accessible à cette adresse. Bon visionnage et n'hésitez pas à faire part de vos commentaires, cela va de soi.
Désormais séparé de l'éditeur JoWooD parti développer son propre Gothic 4 avec Spellbound Software, le studio allemand Piranha Bytes se trouva fort dépourvu lorsqu'il fallut perpétuer une série de jeux de rôles qu'il avait pourtant inventée. Sa réponse, Risen, un jeu souvent présenté comme la suite spirituelle des Gothic, et qui partage avec ses illustres ancêtres toutes les caractéristiques du RPG allemand classique : monde ouvert, quêtes et combats en pagaille, et aussi, parfois, un design pas toujours du meilleur goût. Très attendu notamment par ceux qui n'ont plus grand chose à se mettre sous la dent depuis un Gothic 3 assez controversé, Risen est-il le coup de maître d'un studio qui commence à bien maîtriser son art, ou un simple jeu de plus dans un genre qui continue à rester populaire ? Ca n'est hélas pas sur Xbox 360 que nous aurons la réponse... Lire le Test complet
Comme au printemps dernier en Allemagne, Nintendo of Europe organisait le 16 septembre à Londres un Media Summit visant à mettre en valeur un échantillon des titres DSiWare et WiiWare censés arriver dans les prochains mois. Une bonne opportunité pour prendre des nouvelles de projets déjà connus, de découvrir de nouveaux jeux et de discuter avec les développeurs venus présenter leurs productions. Lire la suite
Après un premier volet qui n'avait pas franchement réussi à transformer le buzz qui le précédait en enthousiasme débordant une fois sorti, Army of Two attend le second épisode qui saura démontrer les qualités d'une série encore fragile sur certains aspects. Bien que toujours au stade de la pré-alpha, Le 40ème jour s'était invité au récent Festival du Jeu Vidéo avec pour mission de nous rassurer et nous démontrer les avancées d'EA Montréal avec son poulain. C'est donc le temps d'une partie en coop avec un allié de choix, Matt Turner, producteur du jeu, que nous avons pu découvrir ce second épisode. Lire la suite
Au lendemain de la sortie de la PSPgo, et de la diffusion des déclarations du président de Micromania Pierre Cuilleret dans nos colonnes, le responsable de Sony Computer Entertainment France, Georges Fornay, a tenu à exercer son droit de réponse - réaction que nous espérions recueillir au moment de la mise en ligne de l'article original. Dans un souci d'équité et de neutralité, nous publions donc la lettre de M. Fornay dans son intégralité.
Réagissant, dans un courrier transmis à la rédaction, aux attaques de Micromania sur sa machine, Georges Fornay dénonce une "campagne de dénigrement" à l'encontre de sa portable. "[Micromania a] voulu boycotter le lancement de la PSPgo, et nous a soutenu longtemps ne pas vouloir la distribuer, mais nous avons finalement reçu une commande de dernière minute vendredi dernier assortie de menaces de refus de vente", explique Fornay. On apprend par ailleurs que les boutiques Orange proposeront, "dans les prochains jours", ce nouveau modèle de PlayStation Portable. Lire la suite
Toujours à la recherche de l'éponge magique qui sera capable d'éliminer la malédiction vaudou qui s'empare de la population, Guybrush Threepwood et son bateau sont désormais prisonniers de l'estomac du lamantin qui les a englouti à la fin de l'épisode précédent. Une situation ubuesque évidemment propice à tous les délires, notre pirate devant se faire accepter par une confrérie de naufragés, eux aussi enfermés malgré eux dans les entrailles de la bête, tout ça pour réparer l'oreille interne du lamentin et lui permettre de retrouver sa route vers la femelle de ses rêves, et mener notre aventurier à l'Esponja Grande. Fidèle à la tradition des séries Telltale qui ont toutes leur petit coup de mou, Lair of the Leviathan est sans doute le plus faible des chapitres déjà sortis, avec un humour présent mais pas aussi convaincant qu'auparavant, des animations qui étonnent par leur aspect parfois grossier, et un rythme d'ensemble moins pétillant, voire assez mou dans sa dernière partie. Rien de dramatique : l'épisode reste plaisant et agréable, avec ses puzzles loufoques et ses énigmes incongrues, même si on reconnaît vite derrière la surface certaines des mécaniques des jeux Telltale. Pas extrêmement long, Lair of the Leviathan a bien sûr ses moments réussis, que cela soit le retour de l'excellentissime Murray, particulièrement drôle et vivace (surtout pendant le générique de fin), et ses hommages discrets ou appuyés aux classiques de la saga. On appréciera ainsi le duel de grimace venu remplacer ceux d'insultes, ou le périple sous-marin de Guybrush, grâce à sa légendaire aptitude à retenir sa respiration pendant dix minutes. Une manière de rendre à Monkey Island ce qui appartient à Monkey Island, même si on peut regretter que ce chapitre manque singulièrement de piquant. Lire le Test flash
Après un premier passage sur PlayStation 2 en 2005, on pensait que le petit indien de Brave aurait tiré des leçons de ses échecs et ne se lancerait dans une nouvelle aventure qu'après s'être sagement remis en question. Hélas, quatre années se sont écoulées et ce second épisode s'entête dans son classicisme en proposant une aventure toujours basée sur un gameplay d'action/plates-formes encore bien mou et répétitif. Pourtant, son background sympathique, fouillant librement dans les mythes amérindiens, a un certain charme et donne d'ailleurs lieu à quelques idées mignonettes pendant notre périple : imiter le cri des animaux, pêcher, pister des écureuils dans la forêt... Malheureusement, en plus d'une maniabilité brouillonne et d'un rythme déprimant, en passant sur Xbox 360, Brave semble s'être autant soucié de ses graphismes que de sa première paire de mocassins. A Warrior's Tale semble ainsi tout droit sorti d'un autre âge avec son rendu grossier, terne et, pour tout dire, un peu cradingue. Comme si cela ne suffisait pas, le jeu se paie en plus le luxe de trainer quelques bugs qui dérangent : du simple clipping à des erreurs beaucoup plus graves qui imposent carrément de recharger sa partie - comme lorsque l'on traverse par "accident" un mur. Bref, même en considérant qu'il s'adresse à un jeune public, même en creusant au plus profond de notre âme d'enfant pour y dénicher ce qu'il nous reste de candeur, Brave s'enlise trop dans ses imperfections et ses bâclages pour qu'on l'excuse. Les amoureux des Indiens peuvent donc garder leurs sioux sans remords. Lire le Test flash
Pas vraiment connu ni attendu, Miami Crisis est un petit jeu d'enquête policière pour DS qui nous arrive par l'intermédiaire de Konami. Alors que la plupart des titres du genre se contentent de proposer au joueur une succession d'images fixes et d'énigmes à résoudre, la petite astuce de Miami Crisis est d'intégrer de temps à autres des mini-jeux pour éviter une certaine monotonie. Course poursuite, fusillades à la Virtua Cop, séances de hacking... Le gameplay se veut varié, et il est en effet plutôt agréable de découvrir chacune de ces phases de jeu au début de l'aventure. L'autre bonne idée est de proposer deux héros bien distincts que l'on pourra choisir d'incarner à tour de rôle. Law est un flic un peu nerveux prêt à tout pour venger son partenaire assassiné, et Sara est un agent du FBI qui l'aidera à combattre et à infiltrer les pires dealers de Floride. L'alternance entre les personnages permet de vivre une situation donnée avec deux points de vue différents, et il est tout à fait possible de ne se concentrer que sur l'un des héros, ce qui est une petite liberté bienvenue. Hélas, le reste du jeu n'est pas aussi reluisant, et malgré ses bonnes intentions, Miami Crisis s'essouffle sur la durée. Il devient en effet vite pénible d'avoir à subir un paquet de dialogues un peu inutiles, ou d'avoir à effectuer de longs allers-retours d'un point à un autre avec pour seul divertissement une série d'images fixes ne montrant pas grand-chose d'attrayant. Les mini-jeux, bien que sympathiques, ne volant pas non plus très haut, Miami Crisis est finalement un produit qui n'exploite malheureusement pas son potentiel comme il faudrait. Il n'empêche que pour moins de 30€, le jeu pourra toujours convenir aux curieux à la recherche d'une petite initiation aux enquêtes policières. Lire le Test flash
Les amateurs de rallye automobile seront heureux d'apprendre que l'éditeur italien Black Bean vient d'annoncer le développement d'un jeu basé sur la fameuse licence WRC appartenant à la FIA, au même titre que la F1 et le WTCC.
Le FJV passé, ce sera bientôt au tour du Micromania Game Show d'ouvrir ses portes. L'événément se tiendra en effet du 30 octobre au 2 novembre prochains à la Grand Halle de la Villette à Paris.
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