Un an après Spore Creatures, le studio Maxis nous présente La Bataille des Héros, une nouvelle déclinaison de la série Spore. Une fois de plus, l'évolution et l'adaptation sont au coeur du gameplay de ce jeu d'aventure sur DS. Si le concept n'évolue pas tellement, l'intérêt est-il, quant à lui, renouvelé ? Lire le Test express
Décidément, Hydravision est d'une ténacité à toute épreuve. Ainsi, deux ans après la sortie de Obscure II, porté un peu plus tard sur Wii, le voici de retour sur une nouvelle plate-forme, la PSP. Ce survival horror universitaire tente donc à nouveau de nous faire flipper avec ses étudiants zombifiés à dégommer à coups de crosse de hockey, et bien que l'idée de replonger dans cette aventure bancale n'était pas franchement engageante, il faut tout de même reconnaître que le portage n'est, en soi, pas mal exécuté du tout. Graphiquement, The Aftermath s'en sort bien comparé à la concurrence sur PSP avec des décors assez détaillés et une modélisation des personnages tout à fait correcte. En revanche, les animations ont plus de mal à convaincre, notamment lors des cut-scenes, toujours aussi mal mises en scène. Outre cette réalisation honorable, Obscure II sur PSP peut également se vanter d'être jouable en coop en Ad Hoc, un mode de jeu assez efficace qui représentait un des rares attraits des autres versions. Pour le reste, dans la mesure où l'aventure n'a pas bougé d'un iota, The Aftermath convainc toujours aussi peu avec son ambiance premier degré trop légère, des mécaniques de gameplay rouillées et une aventure trop linéaire et simple. Bref, malgré une bonne volonté évidente pour porter leur titre sur PSP, les gars d'Hydravision ont oublié l'essentiel : il n'avait rien de mémorable au départ. Obscure : The Aftermath a donc aussi peu d'intérêt ici qu'ailleurs. Mais qui en doutait ? Lire le Test flash
Loin d'être refroidis par leur tout premier essai sur Wii, les Littlest Pet Shop reviennent sur la console de salon de Nintendo. Le principe est le même : s'occuper d'animaux super deformed à travers quelques mini-jeux. Dans cette nouvelle version, le jeu commence par la rencontre du paon et du dogue avec l'ours et la chenille. C'est évidemment le prétexte d'organiser une grande fête et donc de participer à des mini-jeux qui se succèdent sans grande logique par rapport à l'embryon scénaristique. Aussi pauvre en contenu que son prédécesseur, ce nouveau Littlest Pet Shop Friends ne peut compter que sur une petite poignée de mini-jeux pas trop mal fichus pour sauver l'ensemble. D'autres, en revanche, laissent carrément à désirer : le gameplay ultra basique et la maniabilité mal calibrée rendent certaines épreuves particulièrement aléatoires, quand les explications ne sont tout simplement pas mal traduites. Le jeu manque en outre de clarté, que ce soit dans les explications des mini-jeux ou dans l'organisation du niveau central, véritable bazar de bâtiments construits sans l'avis d'un urbaniste. Au fur et à mesure de la progression, le joueur débloque de nouveaux duos d'animaux, mais avant de craquer pour eux, il faut cependant adhérer au style graphique assez spécial et supporter l'ambiance sonore pesante et répétitive. Evidemment, on retrouve les options de relookage des animaux, avec cette fois-ci en prime la personnalisation des accessoires. Assez superficielle, elle satisfera cependant les apprentis créateurs pour un temps. On peut également oublier le mode multijoueur qui ne convaincra pas grand monde. Une fois encore, on se passera bien des Littlest Pet Shop. Lire le Test flash
9h 20 - Rumeur Les doubleurs sont bavards en ce moment, et c'est cette fois Charles Martinet, la voix officielle de Mario, qui y va de son petit teasing sur Twitter.L'acteur parle ainsi de l'existence d'un nouveau jeu Mario qui ne serait "ni New Super Mario Bros. Wii, ni Super Mario Galaxy 2". On attend maintenant d'en savoir plus sur les projets de Nintendo qui, s'il n'est plus à un Mario près, semble en tout cas décidé à utiliser sa mascotte à plein régime.
Le lobby de la version PC de Modern Warfare premier du nom passerait ainsi à la trappe pour être remplacé par un service de matchmaking baptisé IW.net - signant au passage l'arrêt de mort des serveurs dédiés et des mods communautaires - dans une volonté d'unifier l'expérience multijoueur sur toutes les plates-formes visées par le titre d'Activision.
Golgoth Studio, une équipe française de six personnes fondée l'an dernier afin de perpétuer la tradition des jeux 2D, a récemment annoncé qu'elle travaillait sur un remake du Toki de Tad Corporation. Destiné à être distribué en téléchargement, le jeu est déjà en phase d'approbation sur le Xbox Live et Games for Windows Live, le souhait des développeurs étant de le sortir sur toutes les plates-formes en ligne. En attendant une première vidéo et plus de détails, le jeu peut déjà être comparé à l'original grâce aux premières images postées sur le blog officiel du studio et regroupées ci-dessous. Voir les images
Activision met fin à un suspense insoutenable en diffusant la liste complète des chansons embarquées dans les versions consoles de salon de Band Hero, et celle retenue sur DS.
Elles confirment toutes les deux l'orientation plus pop de ce dérivé de Guitar Hero, qui proposera donc des titres de Ben Harper and the Innocent Criminals, Duffy, Jackson 5, Janet Jackson, Lily Allen, No Doubt ou encore Taylor Swift. L'éditeur américain profite également de l'occasion pour préciser que 69 des morceaux de Guitar Hero 5 pourront être importés dans Band Hero dès la semaine du lancement de ce dernier pour 480 points Microsoft, soit environ 5,60€, et à un prix sensiblement identique sur PS3 et Wii. A l'inverse, 61 des chansons de Band Hero (sur 65 en tout) pourront être importées dans Guitar Hero 5 pour 420 points Microsoft, c'est-à-dire moins de 5€, et à un prix encore une fois sensiblement identique sur PS3 et Wii. Enfin, la grande majorité des titres téléchargés pour Guitar Hero seront compatibles avec Band Hero nous dit-on. Chez nous, sa sortie est, rappelons-le, calée au 6 novembre prochain sur Xbox 360, PS3, PS2, Wii et DS. Voir les chansons
Renommée cet été en Two Worlds II, la suite du RPGTwo Worlds se lâche avec la diffusion de ces quatre nouvelles images censées mettre en avant les capacités du nouveau moteur graphique élaboré pour cet épisode et baptisé Grace.
Aussi grises soient-elles, ces captures restent malheureusement muettes concernant le gameplay de cette suite qui, rappelons-le, se déroulera quelques années après le premier épisode sur des terres diverses et inexplorées à l'ouest d'Antaloor. On y trouvera visiblement des marais peu accueillants, tandis que sa date de sortie est toujours calée à cet hiver sur PC, Mac et "consoles de nouvelle génération". Voir les images
Nintendo commercialisera deux nouveaux coloris de Wiimote courant décembre au Japon.
Vendues 3.800 yens pièce (28 €), sans Nunchuk associé, ces modèles "Ao" (bleu) et "Pink" (rose) seront disponibles à compter du 3 décembre au pays du Soleil-Levant. Le constructeur n'a pas communiqué de dates de sortie pour les autres marchés. Voir l'image
Visiblement en graves difficultés financières, Oxygen Games (qui était déjà à la recherche d'un acheteur pour son studio interne en janvier dernier) s'est déclaré en cessation de paiement il y a quelques jours, comme le rapporte Gamesindustry.biz.
Placé sous le contrôle de l'administrateur judiciaire FA Simms & Partners Ltd, l'éditeur anglais aurait aussitôt été cédé à OG International, une autre société du CEO d'Oxygen : Jim Scott. Une solution d'urgence permettant de conserver les activités et les emplois d'Oxygen, mais sujette à controverse toujours si l'on en croit Gamesindustry.biz. Plusieurs créanciers se seraient en effet manifestés afin de ne pas être oubliés dans cette affaire, parmi lesquels le studio italien Twelve Interactive. Sous contrat avec Oxygen pour l'édition de son jeu Cid The Dummy, il s'oppose désormais à sa mise sur le marché par OG International qui revendique pourtant ses droits d'édition. Selon Twelve Interactive, Oxygen les aurait en effet automatiquement perdus suite à son défaut de paiement... Affaire à suivre donc.
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