Comme chaque vendredi, Gamekult vous propose son résumé complet de l'actualité dans une émission dédiée aux sorties hebdomadaires. Pour cette nouvelle édition de Gamekult, le Mag, vous retrouverez ainsi en moins de 10 minutes l'essentiel de l'actualité et des jeux à suivre. Cette semaine, nos projecteurs sont braqués sur la sortie de Ratchet & Clank : A Crack in Time.
Egalement au menu pour ce numéro, trois questions à Yoshinori Ono, le producteur de Super Street Fighter IV récemment de passage à Paris, ainsi que les traditionnels "Zapping de l'actu" et "Agenda" pour être à jour côté infos et évènements avant de partir en week-end. A noter que le programme est aussi accessible en format podcast pour les joueurs nomades. Il suffit de copier ce lien dans iTunes dans le menu "Avancé", puis de sélectionner "S'abonner au podcast". Quant à la version PSP, elle est accessible à cette adresse. Bon visionnage et n'hésitez pas à faire part de vos commentaires, cela va de soi.
Depuis la fondation du jeune studio Platinum Games et son allégeance faite à Sega, c'est tout naturellement vers Bayonetta que se braquent tous les projecteurs. Sans faire injure à MadWorld et Infinite Space, difficile de rivaliser avec un titre qui marque le retour de l'un des créateurs les plus doués de sa génération, Hideki Kamiya, sur les traces du jeu qui a fait sa renommée intergalactique : Devil May Cry. Bienvenue au palais des fantasmes, en compagnie de la plus coquine de ses hôtesses : Bayonetta. Lire le Test import
Vraisemblablement inspiré par la série SingStar et ses innombrables déclinaisons, ou plus certainement par les Pokémon, Activision nous propose avec Band Hero une déclinaison de Guitar Hero 5, mais pensée pour la famille. On retrouve les qualités et les défauts du titre sorti il y a moins de deux mois, et pour cause : il s'agit strictement du même jeu, avec les mêmes menus agencés dans le même ordre, les mêmes modes de jeux (Carrière, Soirée, Partie rapide, Compétition, GH Studio...) et un gameplay identique. Seuls l'habillage rose bonbon typé Hannah Montana et la liste des chansons très pop, qui cible particulièrement les adolescent(e)s (Taylor Swift, Fall Out Boy, Lily Allen, Maroon 5, Robbie Williams...) mais aussi un peu leurs parents (Carl Douglas, David Bowie, The Rolling Stones, Don McLean...), différencient en fait cette simple skin de l'original. Pour l'équivalent de 5, on peut même importer les chansons de l'un dans l'autre et inversement. Le procédé peut faire bondir, mais il n'est pas très inédit en matière de jeux musicaux et se révèle en fait assez adapté au genre. Suivant ses goûts, on pourra donc s'orienter pour Noël plutôt vers Band Hero que vers Guitar Hero 5, d'autant que la difficulté, un peu moindre, est cependant bien progressive tout au long du mode Carrière avec quelques chansons ardues à tous les instruments. Malgré tout, et même si le titre et son inénarrable mode Soirée restent toujours aussi efficaces, ce simple rhabillage d'un jeu à peine sorti n'aurait probablement pas dû être proposé au prix fort. Lire le Test flash
Décidément increvable, le vénérable Painkiller revient à la vie avec ce Resurrection, énième suite qui, loin du ravalement de façade espéré, est en fait une collection de chapitres supplémentaires. Six niveaux qui se termineront en autant d'heures, sauf pour ceux qui souhaiteront en écumer chaque centimètre carré même si on voit mal ce qui justifierait une telle punition. Recyclant sans vergogne l'actif de la série, Resurrection c'est d'abord un level design raté avec des cartes certes immenses mais surtout confuses, aux objectifs absolument pas clairs, enchevêtrements bordéliques truffés de bugs. La stupidité des monstres - d'ailleurs pratiquement toujours les mêmes en dépit de la richesse du bestiaire - est une autre mauvaise surprise, avec un pathfinding et une I.A. inexistants. Le jeu a perdu toutes les qualités de son ancêtre : exploser des saletés au lance-roquettes est certes toujours marrant, mais le plaisir est inexistant tant le jeu est dénué de la moindre créativité et se contente de faire apparaître à deux mètres du joueur des grappes de monstres, comme par magie. Même générosité, hélas, en ce qui concerne les bugs, plantages violents et corruptions de sauvegarde. Enfin, le mode coop promis n'est jouable qu'au prix de certaines manipulations, et peine à se montrer à la hauteur. Pour sauver les meubles, on dira que la patte Painkiller est toujours là et que certains décors sont corrects malgré l'âge avancé du moteur. Pour le reste, Resurrection est une déception que son statut de jeu "fait par les fans" ne peut excuser. Lire le Test flash
Ubisoft l'avait dit : les mini-jeux ne sont plus d'actualité pour les Lapins Crétins. Sur Wii, les petits monstres se sont donc lancés dans le genre aventure et sur DS, ils ont opté pour le jeu de réflexion. Attention, pas le gros casse-tête bien crispant, The Lapins Crétins : La Grosse Aventure est plutôt une variante de Lemmings. Explications : afin de bâtir une tour suffisamment haute pour atteindre la Lune, un lapin doit récolter des objets sur différents parcours en 2D. Jusque-là tout roule, y compris le caddie dans lequel se déplace le Crétin, mais voilà, chaque parcours est piégé. Avant de lancer la course automatisée du lapin, le joueur doit donc neutraliser les pièges grâce aux items qu'il possède en quantité limitée. Des poutrelles à placer sur les trous, une ou deux caisses pour bloquer certains chemins, des boules de bowling pour en ouvrir d'autres, les ciseaux afin de couper les cordes ou encore un gant de boxe monté sur ressort pour envoyer le lapin en l'air, tout dépend des circonstances. Les possibilités sont assez ingénieuses, même si dans les 150 niveaux proposés, on tombe fatalement sur des redites. Si cela ne suffit pas, un éditeur de puzzles permet d'exprimer sa créativité ou de récolter les créations des autres joueurs en ligne. Pour le reste, The Lapins Crétins DS a de quoi déconcerter le public habituel de la série, en se montrant moins barré que ses prédécesseurs. Les développeurs ont tenté de rester dans la légèreté en rajoutant des cinématiques et des bruitages très "bwaaa !", mais cela n'efface pas le côté abrupt de la réalisation et une forme de rigueur inhérente au genre. La Grosse Aventure sur DS n'est donc pas forcément le fou-rire de l'automne, mais éventuellement un jeu de réflexion accessible et dégourdi pour qui voudrait découvrir les lapins sous un jour moins crétin. Lire le Test flash
Véritable surprise de l'année 2008 dans le petit monde du FPS, Bad Company, spin-off de Battlefield, a vite réussi à s'affranchir de sa série d'origine avec son ton décalé et son gameplay ouvert très porté sur la destruction massive de maisonnettes. Prudente, sa suite très attendue semble avoir préféré éviter l'affrontement direct avec un autre grand ponte du genre, Modern Warfare 2, en décalant sa sortie au mois de mars 2010. Cela ne l'a pas empêché pour autant de se dévoiler durant quelques heures plutôt explosives. Compte rendu de cette première rencontre manette en mains. Lire la suite
Après deux épisodes aux qualités indéniablement croissantes, l'enthousiasmante série Skate d'EA Black Box s'apprête à accueillir un troisième épisode. Oui, le rythme est assez soutenu, mais cela n'empêche pas Skate 3 de pouvoir déjà compter sur un paquet de nouveautés susceptibles de séduire les amateurs de rock californien et de vêtements bizarrement taillés. A l'occasion du Winter Showcase d'Electronic Arts, le nouveau titre de Black Box était donc de sortie pour nous entraîner dans quelques rides foufous, et sans genouillères, s'il vous plaît. Lire la suite
Toutes les personnes ayant suivi la conférence d'Ubisoft au dernier E3 se souviennent forcément du long discours de James Cameron, intarissable sur l'univers de son prochain film et par la même occasion du futur jeu vidéo : Avatar. Présenté il y a deux semaines sur Wii, voici aujourd'hui de nouvelles impressions sur les premières missions de la version Xbox 360 du titre des équipes de Montréal, qui laissera au joueur le choix de son camp. Lire la suite
Déjà mentionné dans la liste des packs Xbox 360 éligibles pour la nouvelle offre de remboursement actuellement en cours, le pack Xbox 360 Elite GTA IV Episodes from Liberty City fera son entrée dans nos magasins le 13 novembre prochain.
Tout en lâchant une nouvelle vidéo consacrée aux pouvoirs magiques et aux attaques sadiques de Bayonetta, Sega annonce que l'Europe aura droit à une édition collector portant le nom de "∞ Climax Edition". Encore sans prix officiel, cette version spéciale illustrée ci-dessous contiendra le jeu, un artbook et ce qui semble être un CD de musiques piochées dans la bande-son du titre de Platinum Games, le tout rangé dans un petit coffret. En attendant que cette bonne surprise atterrisse dans les rayons de l'Hexagone, on ne saurait trop conseiller de lire notre test tout frais de la version PS3 japonaise. Voir les images
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